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Cours Numérisation, savoir et connaissances - Mercredi 18h/19h - B9

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Cours Numérisation, savoir et connaissances - Mercredi 18h/19h - B9 Empty Cours Numérisation, savoir et connaissances - Mercredi 18h/19h - B9

Message  tybo Lun 25 Jan - 16:00

Numérisation, savoirs et connaissances

Yves Thépaut

Introduction: Société du savoir et de la numérisation: un changement de paradigme.
Débuts matériels: biens qui ont la particularité d'êtres peu volumineux, de pouvoir êtres échangés à distance à la vitesse de la lumière. Qui s'oppose aux bien matériels tel que l'automobile. Le savoir et l'information sont fondamentalement des biens collectifs, avec comme propriétés d'êtres indivisibles, d'êtres inappropriables, gratuits (caractéristique essentielle), libres (à la disposition de tout le monde). Se pose ensuite la question de savoir si l'ont fait payer l'information, l'enseignement, le savoir? C'est le débat de société actuel, car il suffit de mettre en place des droits de propriété.
Les TIC permettent de diffuser le savoir très rapidement. On peut réduire l'écart entre le nord et le sud. Pourquoi ne le fait-on pas? A cause des considérations politiques et économiques. Au SMSI de 2005, les USA ont proposés de vendre des ordinateurs portables en Afrique pour 100€, mais cela ne s'est pas fait. Contraintes de financement, de prépondérance de logiciels, …
Un paradigme est un modèle de compréhension et un modèle de développement, d'évolution . On oppose celui matériel à celui immatériel.
Internet est au début utilisé par les militaires aux USA, et s'est imposé dans de nombreux pays en étant financé de manière publique (Ex: Haut Débit en Bretagne, financé par Région). Pour la téléphonie mobile, on paye en fonction de sa consommation, mais le problème est que quand on se situe dans une logique privé, on est fasse à des entreprises privées qui veulent faire des profits. On est dans l'impossibilité de faire tout passer par le public, car il y a la règle du marché.
Passage de l'économie industrielle s'intéresse aux biens matériels passe à une économie de l'immatériel. Quand une performance augmente, son prix augmente. On a affaire à un changement de paradigme.
On a la mécanisation: le principe est pour la société industrielle. C'est le fait d'introduire des mécanismes dans les chaines de productions, pour remplacer les hommes par des machines, réduit les efforts de l'homme. On a une économie qui se développe, en rationalisant le travail humain en le remplaçant par des machines: division technique du travail. La mécanisation amène à la DTT. La machine se substitut à l'effort mental de l'homme.
A une technologie s'associe une multitude de produits: un ordinateur a plusieurs fonctionnalités. L'effet de l'automation est le paradoxe des technologie: automation réduit les coûts moyens de production, à tel point que le coût de production tend vers 0. Si le coût tant vers 0, cela justifie une tarification à prix nul. L'autre effet, c'est que l'automation permet de faire circulé des produits informationnels sur une longue distance, à coût quasi nul, à une vitesse équivalente à celle de la lumière. L'automation permet la mondialisation. Cette dernière résulte de plusieurs facteurs, mais en particulier de l'automation. Il y a un lien entre automation, automatisation, et globalisation. Pose le problème bien connu aujourd'hui de la délocalisation. Alcatel Lucent supprime des emplois, bien qu'ayant reçu des subventions de la région, cela pose un problème.
Un autre élément développé sera la question de la numérisation. La société numérisée pose des problème, tout n'est pas éloge de la technologie. La numérisation pose des questions de délocalisation, économique et sociale, politique.

I - L'avènement de la société du savoir.
On a changé le paradigme en passant dans une société immatériel, de l'information et du savoir. Beaucoup d'interprétations ont étés proposées pour rendre compte de ses transformations. Il s'agit de transformations structurelles, d'une société industrielle qui aura connue 3 étapes majeures depuis la révolution industrielle au XVIIIème siècle en Angleterre. Est-ce que l'ont va vers une société post ou néo industrielle? Généralement, les auteurs et les chercheurs parlent de société post-industrielle. Nous allons essayé de démontrer qu'il s'agit en fait de société néo-industrielle. Les conceptions néo industrielles sont aujourd'hui dominantes, et dans le même temps, les facteurs et les évolutions constatées sont assez proches, que l'ont parle de société post ou de société néo. Le point important de ce changement de paradigme repose sur la notion de révolution scientifique et technique. Et on doit considérer pour expliqué le passage à une économie de l'information (ou du savoir, ou cognitive), il y a deux étapes majeures:
Révolution scientifique des années 1858 – 1874 qui marque une rupture.
Tournant des années 1950 avec la conjonction de deux éléments:
de la définition des concepts d'information (défini par Shannon en 1948) et de rétroaction (Wiener 1948).
mise au point de technique de traitement de l'information qui prend la forme de la numérisation et du traitement assuré par les ordinateurs.

1 – Société post-industrielle ou néo-industrielle? Une mise en perspective historique.

1.1. La société post industrielle associée aux technologies intellectuelles.
Les chercheurs caractérisent le type de société dans laquelle nous sommes en fonction de ce qu'ils constatent. Depuis les années 50, ils observent une montée en puissance des services. On passe donc à une société de services (le tertiaire) avec une interrogation qui demeure aujourd'hui: puisque cette évolution du primaire au secondaire au tertiaire c'est fait vers un déplacement des populations actives du secteur primaire au secteur secondaire au secteur tertiaire. Le problème n'est pas récent.
Jusqu'en 1950, 50% de la PA était dans l'agriculture. Comme le dit Fourastier il y a le déversement de la population du secteur primaire dans le secteur secondaire puis dans le secteur tertiaire. A partir du moment où la mécanisation dans l'agriculture s'est produit, elle a dégagée de la main d'oeuvre qui s'est déversée dans le secondaire. On a donc vu le nombre d'acteurs dans l'industrie s'accroitre. En mécanisant l'industrie à partir des années 60-70, avec une réduction des emplois dans le secondaire, les actifs se sont déversés dans le secteur des services.
Une fois que l'ont aura automatisé le secteur tertiaire, que fera t-on de la population active?
L'optique des théories qui défendent la thèse néo industrielle du glissement de la société de services en se basant sur l'idée de substitution des activités de l'information aux activités industrielle.
Bell a écrit en 1973 «Vers la société post-industrielle» et qui est toujours «en vigueur», et un autre auteur Richta «La civilisation au carrefour» (1967). Ils disent que le problème de la société n'est plus celui de l'organisation du travail industrielle, mais celui de la gestion du savoir scientifique, si bien que le principe axial c'est la centralité du savoir théorique, générateur de l'innovation et induisant une nouvelle place aux professionnels et aux techniciens. D'après eux, on reconnaît une nouvelle place d'industrie de travailleurs érigés autour de l'industrie du savoir. Ce sont ceux qui ont le savoir qui ont le pouvoir. C'est autour du savoir théorique que va s'organiser la croissance économique et la classe sociale.
Il y a trois classes sociales: les ouvriers, les patrons et une classe intermédiaire, les cols blanc (bureaucrates). Se substitue à ses trois classes, trois nouvelles classes: travailleurs qui ont peu de qualifications et qui introduisent les données dans les bases, la classe des dirigeants, et la classe intermédiaire qui fait du marketing (vend de services informationnels, et est en contact avec les usagés, et fait le lien entre usagés et producteurs de l'information): nouvelle certification des classes sociales, avec des écarts de salaires. La critique que l'ont fait à ses auteurs c'est qu'ils n'ont pas bien vu que la productivité était possible, or grâce à l'automation la productivité des travailleurs s'accroit considérablement. D'où la thèse proposée que nous sommes dans une société néo industrielle, qui est celle de l'économie de l'information

1.2 Société néo industrielle et économie de l'information.
Différents auteurs ont en communs qu'on a affaire à une nouvelle industrie d'où l'ouvrage central qui fait référence, «Le nouvel état industriel» de Galbraith, qui décrit l'économie américaine dans les années 1950, et qui montre que le système industriel se prolonge avec une concentration des pouvoirs détenus par ceux qui possèdent l'information et la connaissance. Le pouvoir est détenu par des techniciens.
Certains appellent cette société une société cognitive, et vont parler de capitalisme cognitif. Avant, c'était un capitalisme industriel, d'économie industrielle, pour passer dans une économie cognitive. La crise aujourd'hui est une crise qui est faire pour maîtriser le travail intellectuel, qui a pour but de mettre au pas les intellectuels. Sur une chaine de production, on connais le processus, et on peut les disciplinés. Dans la chaine de la connaissance, on ne peut pas les disciplinés. Chez Marx, le chômage est une armée industrielle en réserve, qui pèse sur les salaires pour le amener vers le bas.

On peut parler d'économie d'information dans le sens où l'ont s'exprime en filières d'information (comme les filières automobiles, industrielles, …). La filière électronique est connue en Bretagne en particulier. Economie bretonne fondée sur trois piliers: agroalimentaire, électronique, automobile. Notion de filière essentiel car permet de construire une politique industrielle.
Exemple: Pôle image et réseaux en Bretagne, met au point des services autour de l'image et des réseaux. C'est une notion de filière que l'ont traduit aujourd'hui en terme de pôles de compétitions. Met au point un certain nombre d'innovation que l'ont peut inscrire dans le temps.

«Pouvoir, information, économie», Economia (2002) – Yves Thépaut
Figure 2.1, Schéma de Porat: Schéma qui met en avant quatre secteurs
Agricole
Industrie
Information
Service matériels
Economie agricole jusqu'aux années 1900. Ensuite, c'est le secteur industriel qui est dominant jusqu'en 1950, puis vers une économie d'information. C'est une illustration au plan statistique de la théorie de Porat et de ses auteurs.
Pour montrer que la numérisation est un processus central dans nos sociétés d'aujourd'hui, on va effectuer une approche historique de ses étapes, et montrer sur la base de données empirique que le fait que la révolution scientifique et technique sui s'est déroulé à la fin du 19ème a débouché sur un ensemble de phénomène que l'ont peut constater comme la croissance particulière de la science. Les évolutions décrites aujourd'hui résultes d'innovations fondées sur l'électronique et d'automation.
Autre phénomène, paradoxe de la téchnogie: performances s'accroitre alors que les coûts vont diminués. Nouveauté car avant les innovations se traduisaient par un coût supérieur. Lorsqu'au début de XXème siècle, Ford quand il mettait au point un modèle ne se préoccupait pas de savoir si il plaisait aux usagés. On était dans une économie où l'offre de l'industrie s'imposait aux usagés. Les industriels s'aperçoivent que certains produits mis au point dans leurs laboratoires ne sont pas acceptés par leurs usagés, et sont bien obligé de modifier leur stratégie en associant les usagés à la mise au point des produits.

2 – L'intrusion de la science dans la production: vers la numérisation.
La place centrale qu'a occupée la science depuis la seconde moitié du 19ème siècle sur le progrès technique et le développement de la technologie. L'idée est que la science joue un rôle central dans le système productif et la société. Cette place centrale résulte d'une révolution scientifique qui s'est faite très précisément entre 1858 et 1874, où il y a un développement considérable de la science fondamentale. Avant, on avait la technique qui faisait appel à uns avoir faire. Il y a une rupture épistémologique à partir du moment où l'ont découvre l'infiniment petit. Darwin en 1859 publie «l'origine des espèces», où il montre que l'homme descend du singe, des bactéries. Il y a Max Well, qui marque trois points fondamentaux: autonotisation de la science, passage du processus d'induction à celui de déduction, émergence de la technologie dans le domaine du savoir. Ainsi qu'une quatrième phénomène, un seuil dans l'accumulation des connaissances. Société où il est nécessaire d'accumuler des connaissances scientifiques.

2.1 Autonomisation de la science.
Ce sont dans les grands laboratoires que sont faites les recherches. Jusqu'à la fin du 18ème siècle il n'y avait pas d'organisation de la production scientifique. On parlait d'innovateurs géniaux, d'inventeurs individuels (Edison, Maxwell). A partir de cette date, on à une autonomisation de la science: la science se développe pour elle même et acquiert son indépendance en affirmant la recherche de la vérité pour la vérité. On s'intéresse aux recherches qui ont des retombées immédiates, et est l'objet de critiques (mouvements étudiants du printemps 2009). Il n'y a pas pour autant une rupture totale entre la recherche fondamentale et les applications. Idée de faire la recherche pour elle même mais en même temps pas dissocier des préoccupations de rentabilité. Autonomisation qui marque une inversion dans le rapport entre l'induction et la déduction.

2.2 Inversion dans les rapports induction/déduction:
A la fin du 19ème siècle il y a passage du processus d'induction à celui de déduction vers 1860.
Exemple de la machine à vapeur: inventé en constatant qu'en faisant bouillir de l'eau il y a de la vapeur qui peut être transformée en énergie mécanique. Le problème était d'améliorer le rendement thermique. On va faire appel à la science, c'est l'induction. Le processus inverse est quand la science fait appel à la société pour trouver des applications.
Exemple de la télégraphie: on a découvert le principe de télégraphie, et on l'a appliqué.
L'industrie électronique aujourd'hui pour ce qui est des microprocesseurs, c'est un processus de déduction qui s'appuie sur la physique de l'état solide. Il y a un double processus: la science découvre les principes qui vont êtres appliqués, et il y aura un retour vers la science quand des problèmes vont apparaitre. Quand France Télécom met au point des technologies nouvelles qui ne sont pas acceptés par les utilisateurs, il y a un retour. Il y a une acceptabilité des produits.

2.3 Emergence de la technologie:
Quand on parle de NTIC, elles ne sont pas totalement nouvelles, existants déjà avec le téléphone. On a à la fin du 19ème siècle la naissance de la technologie, on voit poindre la science du fer, la démarche scientifique pour déterminer ce qu'il faut faire, l'innovation, le changement technologique, grâce à un processus d'analyse scientifique. On passe en fait de la technique à la technologie. Passage du savoir faire empirique à un savoir faire scientifique. Un processus d'interaction avec l'environnement, et aussi un processus social de transformation des connaissances scientifiques en savoir pour la production. On parle d'économie sociale.

2.4 Un effet de seuil dans l'accumulation des connaissances:
Expansion de l'information et de la connaissance, où il y a une accumulation de connaissances: Pythagore est toujours utilisé, Newton est utilisé mais dépassé par Einstein. Phénomène d'accumulation accéléré des connaissances. Cependant, il est vrai qu'il y a un mouvement contraire de destruction de certaines connaissances, par vieillissement et déclassement. Par exemple: on fonde notion de Société de l'Info-Com sur un certain nombre de connaissances, et il apparaît que c'est la connaissance qui est le moteur. Ce qui devient dominant c'est la société du savoir. L'Europe fonde sa croissance économique sur le savoir. Pour maintenir la compétition par rapport aux pays concurrents, on a misé sur le développement de la connaissance en Europe. A partir de Porat, on a mis en place aux USA une société de la connaissance: un demi siècle d'avance. Si on veut mettre en place la société et la croissance sur le savoir, il faut prendre en compte un effet de seuil. Il y a bien d'un côté accroissement des connaissances et de l'autre concentration des connaissances. Il y a une augmentation de 5% de connaissance en plus accumulé par an (schéma 1.1). Dès lors, apparaît une effet de seuil: on atteint un certain seuil de connaissance. Apparition et généralisation de l'enseignement de masse à partir des années 50 dans le secondaire et dans le supérieur. Niveau de connaissance tel qu'on ne peut plus se passer de cet enseignement. On ne peut plus se contenter de la formation sur le tas qui caractérise la société antérieur (industrielle). La formation initiale acquise à l'école et à l'université n'est plus suffisante, mise en place de la formation continuée tout au long de la vie.
Avec Facebook, le web 2.0, on voit que les internautes enrichissent les connaissances (logiciel Linux fondé sur ce principe). Au cour d'une vie les travailleurs devront changer plusieurs fois de métier. Chez Ford c'était la fabrication de la Ford T9 où il n'y avait pas de connaissances particulières à avoir pour travailler sur la chaine. On est passé à une sorte de Taylorisme où l'ouvrier devenais qualifié, nécessitant une formation qualifiée. Le Toyotisme met en place un système où l'information et les connaissances circulent entre les travailleurs. Changement qualitatif, travailleurs cherchent un changement qualitatif chez Toyota (0 défauts). Cette façon de produire au japon met en jeu une circulation de la connaissance entre les travailleurs. Il apparaît de nouveaux métiers. Met en évidence qu'il y a des transformations, comme le paradoxe de la technologie.

3- Performances et prix en électronique:
l'électronique débouche sur l'automation, cette dernière va avoir un certain nombre d'effets. La science a débouchée sur l'électronique. Il était appliqué le principe de la mécanisation avant, et dans la société néo-industrielle c'est le principe de l'automation. La mécanisation, c'est la machine qui remplace la travail physique de l'homme: réduit pénibilité physique. L'automation consiste en ce que la machine remplace l'effort mental ou intellectuel de l'être humain. Exemple: le contrôle de la qualité pour les produits chimiques se fait par ordinateurs.
Jacques Ellul, ouvrage sur le fait que la machine tend à devenir indépendante de l'homme.
Deux périodes:
Au delà des années1960 qui se traduit par un abaissement du coût de la puissance informatique, c'est à dire que le coût du traitement de l'information se trouve réduit ( schéma 1.5). Voir Bell et Shannon. Ce dernier veut optimiser la communication et la gestion de l'économie. Il ne faut pas installer une ligne téléphonique surdimensionnée, en dimensionnant la taille du fil en fonction de ce qu'in fait passer dedans, mais on ne sait pas la mesurer. Il propose le bit pour mesurer l'information, et se traduit par des 0 et des 1. La définition de l'information c'est l'information qui nous dit que quand on tire d'une urne où il y a des boules noires et des boules blanches, pour savoir si il fait beau ou pas à Rennes aujourd'hui: 0 signifiera pas de soleil et 1 signifiera soleil. L'ordinateur quand il verra des 0, saura que ses jours correspondent à des jours sans soleil.
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Plan du cour:
I- L'avènement de la société du savoir

1 – Société post-industrielle ou néo-industrielle? Une mise en perspective historique.
2 – L'intrusion de la science dans la production: vers la numérisation.
3 – Les manifestations de l'économie de l'information et du savoir.

II – L'économie de l'information et de la connaissance.
1 – Caractérisation: information, connaissance et TIC.
2 – L'information et la connaissance comme biens privatifs.
3 – L'information et la connaissance comme biens collectifs.

III – Les implications du changement de paradigme.
1 – Le management du savoir.
2 – L'intelligence économique.
3 – La mondialisation du savoir.

Conclusion: vers un système global.

tybo
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